Gynéa – 60 Dragées - Ménopause et équilibre des femmes

Bouffées de chaleur ? Sueurs nocturnes ? Améliorez votre confort dès les premiers signes de ménopause

La recherche scientifique a montré que les isoflavones contenus dans le soja améliorent naturellement l’activité oestrogénique. Une diminution de certains troubles a été notée : bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, risque d’ostéoporose, sécheresse de la peau ou encore cheveux fragiles. La diosgénine contenue dans le yam joue un rôle régulateur, notamment au niveau de la diminution de l’irritabilité, des insomnies, de la fatigue. Elle agit également sur le contrôle du poids, au niveau de la rétention d’eau et sur le maintien de la libido. Gynéa est donc indiqué en cas de :

• Troubles climatériques diurnes et nocturnes.
• Risques d’ostéoporose.
• Sécheresse et altération cutanée ou rétention d’eau.
• Solidité des phanères.
• Irritabilité, nervosité, fatigue, sommeil.
• Régulation pondérale.
• Libido.

Composants

Gynéa est un complément alimentaire associant deux plantes, le soja et le yam, reconnues pour leurs effets bénéfiques en période de péri-ménopause et de ménopause.

Le soja & les isoflavones

La légende raconte que cette plante aurait été découverte il y a plus de 5000 ans par deux personnages chinois, Yu-Hsing et Kung-Kung. Sa culture s’étendra à toute l’Asie en 1400 avant J.C. mais ce n’est qu’en 1690 que le soja est introduit en Europe grâce au botaniste allemand, Engelvert Kempferl. Dans les années 50, il devient une véritable industrie aux États-Unis, surtout utilisé pour son huile et pour l’alimentation animale. De nos jours, le soja est reconnu pour les vertus de ses isoflavones face à la pré-ménopause et ménopause. Les isoflavones sont semblables aux oestrogènes humains en termes de structure, c’est ce qui leur permet d’être présent dans le plasma sanguin. Leur rôle sur l’organisme peut également être comparé à celui des oestrogènes mais avec des effets inférieurs.

Le Yam & la diosgénine

Aussi appelé igname sauvage, le yam est consommé depuis le temps des Aztèques par les Indiens d’Amérique centrale. Ils l’utilisaient pour le traitement des rhumatismes, des troubles menstruels ainsi que pour l’accouchement et la grossesse. Au Belize et en Chine, le yam était utilisé pour soigner les problèmes urinaires. Dans les années 40, la découverte de Russell Marker autour de la présence de disogénine dans le yam a suscité beaucoup d’intérêts. La diosgénine est une substance naturelle très proche des hormones produites par l’organisme féminin. Cette similitude permet au foie de transformer lui-même cette substance en hormones, sans effets secondaires. Elle permet de synthétiser la progestérone, les corticoïdes et la DHEA, substance produite par l’humain dont la quantité diminue avec l’âge. Le yam n’est pas un précurseur hormonal contrairement aux idées reçus mais ce légume apporte tout de même de nombreuses vertus dans la prévention du vieillissement hormonal.