Pathologies pouvant être soignées par le sport

Selon une analyse réalisée par des chercheurs danois sur les bienfaits du sport, près de vingt-six pathologies différentes pourraient être réduite grâce à sa pratique. À savoir que le terme « soigner » doit être interprété de manière correcte c’est-à-dire qu’il permettrait d’en améliorer les symptômes ou de manière éventuelle de faire entrer la maladie en rémission comme pourrait le faire la prise de médicaments. La guérison, quant à elle, est possible au moyen du sport pour plusieurs de ces pathologies mais pas pour la totalité. Découvrons ensemble quelles sont ces pathologies qui pourraient être soignées par le sport.

Pathologies mentales

La dépression

Les chercheurs danois précisent que l’activité physique est pertinente envers la dépression, en fonctionnant autant bien sur le plan psychologique que sur le plan physique (agissant comme un anti-inflammatoire cérébral). Ils conseillent d’autant plus les sports de force ou bien un mélange entre le sport de force ainsi que l’endurance. L’endurance seule ne suffisant pas. Le bienfait est bien entendu proportionnel avec la fréquence des entraînements : ces derniers étant sporadiques, ils ne se montreront que peu efficaces.

L’anxiété et le stress

Comme il en est pour la dépression, les chercheurs danois constatent des bienfaits psychologiques et physiques. Cependant, uniquement les sports d’endurance doux sont conseillés comme la natation, la marche, le vélo ou encore la course à pieds. Les efforts doivent être réalisés de manière progressive au cours des séances. Ainsi, il vous faudra débuter par des séances de quelques minutes et progresser au fil du temps. Les bienfaits sont les mêmes pour le stress et l’anxiété.

Pathologies cardiaques et cérébrales

L’apoplexie cérébrale

Lorsque vous en avez la possibilité suite à l’incident, il est conseillé de faire de la marche ainsi que des efforts cardiorespiratoires du genre course à pied ou vélo. Le sport agit en optimisant la récupération cérébrale. 

L’hypertension artérielle

Les sports de force comme d’endurance sont plutôt efficaces afin de réduire la pression sanguine. Cependant, restez vigilant puisque les exercices intensifiés peuvent amener à une augmentation classique mais forte de la pression sanguine qui peut déclencher un incident cardiovasculaire. Lorsque l’hypertension est supérieure à 18/10, nous vous conseillons de débuter par des sports peu intenses comme de l’endurance. Un suivi médical est également conseillé dans ce genre de situation.

L’insuffisance coronarienne

Le sport fonctionnerait de façon profonde sur le cœur ainsi que sur les vaisseaux en réduisant la tendance aux caillots sanguins, en accroissant la santé vasculaire ainsi que le besoin en oxygène. Il est conseillé d’effectuer un test d’effort en vous rendant chez un médecin cardiologue, en plus de constater les éventuelles contre-indications avant de vous instaurer un programme sportif où l’intensité devra être située entre cinquante et quatre-vingt pourcents du résultat du test d’effort. Pour ce qui est du sport conseillé, privilégiez les sports d’endurance.

L’infarctus

Sur une courte période, le sport réduit les symptômes dus à un infarctus et optimise la qualité de vie. Sur une plus longue période, il limite la mortalité. Comme il en est avec le cas d’insuffisance coronarienne, un test d’effort devra être effectué auparavant. Le genre de sport pratique importe peu mais il faut débuter par une petite intensité en accroissant graduellement jusqu’à des entraînements de trente minutes de deux à trois fois par semaine.

Pathologies respiratoires

L’asthme

L’activité physique serait pertinente afin de réduire la répétition des crises d’asthme. Les activités d’endurance dont l’intensité est moyenne se montreraient plus pertinentes telles que la course, les jeux de ballon ou le vélo. Mais la natation demeure le sport le plus pertinent. Il est conseillé d’être progressif lors de son exercice jusqu’à attendre au minimum quarante-cinq minutes. Entraînements à coup de trois fois par semaine. 

La mucoviscidose

Le sport optimise la fluidité des mucosités bronchiques et par conséquent leur suppression, autant bien de manière spontanée que lors des séances de kiné. Il aide également au maintien des facultés pulmonaires. Tous les genres de sports se montrent bénéfiques.

Pathologies osseuses, articulaires et musculaires

L’arthrose

Les sports d’endurance comme de force sont pertinents afin de réduire les douleurs ainsi qu’accroître la mobilité en situation d’arthrose. Les chercheurs danois précisent que le sport ne doit pas obligatoirement faire travailler l’articulation douloureuse afin de profiter de ses bienfaits.

L’ostéoporose

L’absence d’activité de vos muscles est une cause importante de l’ostéoporose. L’activité physique est donc un traitement nettement efficace. L’activité doit être composée de séances de musculation alternées au moyen de séances dont le but est de travailler l’équilibre. Les os ainsi que les muscles se renforcent et par conséquent le risque de chute réduit fortement.

Les douleurs de dos

Les maux de dos dont nous parlons ici concernent celles du « lumbago ». Toutes les activités physiques sont pertinentes afin de soulager ce genre de souffrances mais surtout celles qui appuient sur la zone lombaire ainsi que les abdominaux. Par conséquent, privilégiez des séances de musculation ou de gainage.

La polyarthrite rhumatoïde

Le sport a de nombreux bienfaits envers l’inflammation et la souffrance à toutes les étapes de la maladie mais il est conseillé de réduire les contraintes sur les articulations qui sont abîmées ou détruites. La natation ainsi que le vélo sont les plus adaptés. Les chercheurs conseillent cependant de faire également de la musculation y compris pour les membres dont les articulations sont abîmées afin de réduire les difficultés et la perte de muscle mais de façon très progressive.

La claudication intermittente

Le sport se montre pertinent afin de réduire les souffrances, accroître la capacité de marche. Les rendus sont plus ou moins égaux ou supérieurs aux opérations ou bien à l’angioplastie, sauf que les risques sont en moins. La marche est conseillée si vous marchez uniquement jusqu’à ce que les souffrances arrivent puis se reposer un peu de manière à ce que la douleur diminue pour se remettre en route. Le temps de l’entraînement doit être au mois de trente minutes à trois reprises par semaine.

La maladie de Parkinson

La totalité des symptômes peut être améliorée en exerçant une activité physique régulière. Tous les genres de sport sont bénéfiques mais la musculation ainsi que le travail d’équilibre semblent apporter de meilleurs rendus.

La sclérose en plaques

Les meilleurs rendus sont obtenus au moyen de la musculation qui est fortement recommandée lorsque le degré de handicap en offre la possibilité. A savoir que le sport peut provoquer une aggravation de manière temporaire des symptômes, il s’agit d’un phénomène normal.

Autres pathologies

L’obésité

Une activité physique est bien-sûr efficace. Il est conseillé de mêler musculation et sport d’endurance. Pour ce qui est de la durée, une heure de sport chaque jour est recommandée.

Le diabète de type 1 et de type 2

Le sport n’offre pas la possibilité de se passer d’insuline mais peut fortement en réduire les besoins, optimiser la gestion de la glycémie ainsi qu’en réduire les complications. Les efforts d’intensité moyennes sont conseillés à l’inverse d’efforts trop intenses qui pourraient amener à des hypoglycémies trop aisément. Il est recommandé de faire attention à sa glycémie et de se montrer régulier dans l’exercice. Pour ce qui est du diabète de type 2, les effets d’une activité physique sont similaire à ceux des médicaments de référence. La façon la plus pertinente de faire du sport pour lutter contre le diabète est de mêler un sport de force ainsi qu’un sport d’endurance dont la durée devra être supérieure à cent cinquante minutes.

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